Rénovation et entretien
À l’instar des autres parties d’une habitation, la clôture doit faire l’objet d’une rénovation périodique. Ces travaux s’accompagnent de plusieurs phases d’entretien et de vérifications de sécurité.
Rénover sa clôture sans se ruiner
La peinture est recommandée pour les remparts fabriqués en PVC. De nombreuses enseignes proposent une laque spéciale pour les plaques en PVC. L’avantage de ce produit est qu’il est inutile d’appliquer une couche de base.
Le bois peut être facilement peint. Cependant, il faut préalablement procéder à un décapage puis à un ponçage. Les mêmes étapes s’appliquent aux clôtures en fer forgé. Néanmoins, la peinture doit être électrostatique et antirouille. La surface à peindre doit être totalement sèche.
La sécurisation de sa clôture contre les intrusions
Installer une clôture répond à un impératif précis : celui de se protéger des cambrioleurs. Il existe des normes concernant la hauteur des clôtures. En effet, les règles d’urbanisme la fixent à 2,60 mètres au minimum et à 3 mètres au maximum. En outre, une clôture ne doit pas offrir une opportunité d’escalade pour les malfaiteurs.
La solution la plus extrême serait d’électrifier votre clôture. Si cette option vous intéresse, vérifiez au préalable la règlementation très rigoureuse de ce dispositif.
L’entretien et la protection de la clôture
Une clôture en bois doit être vernie ou lasurée plusieurs fois dans l’année. Cette opération est extrêmement efficace pour assurer l’étanchéité du bois contre les agressions climatiques. Des traitements antiparasitaires sont également conseillés.
Une clôture en fer requiert l’application d’une peinture antirouille. Il est vital que cette action soit renouvelée dès que la peinture s’écaille pour ne pas compromettre la résistance du fer.
Pour les clôtures en béton ou en PVC, il faut simplement s’assurer que ni la mousse ni les champignons ne prolifèrent. Pour cela, veillez à appliquer de temps à autre un produit fongicide.